Réponse au poème: « ô muse »
Envoyée par Aurélie M.
Je crie miséricorde, mais tu dénies me croire;
Toutes mes plaintes ne sont hordes
Mais un doux chant d'espoir
De ta noble lueur, je n'entrevois que bribes.
Reste, instigateur ! Je ne serai que scribe.
Je ne cherche que la paix de mon âme en oeuvrant;
Et des plaisirs variés, c'est vrai je suis quêtant.
Mais qu'est-ce donc une vie, si vide et sobre elle semble ?
Ton grand savoir je sais, et moi d'envie, je tremble.
Donne-moi un peu de goût, d'adresse aussi; de nez,
Donne-moi juste un peu, ou bien je suis mort-né.
Tu les juges suffisantes, les quelques grâces offertes ?
L'ode à la muse je chante, laisse-moi ta porte ouverte.
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